Un après-midi comme un autre

C’est un après midi comme un autre… ou presque. Le brouillard de la Silicon Valley est tombé sur cet endroit magique et décrié. Les start-up et le CEO y écrivent leur rêves, leurs interrogations sur leur monde qui se dévoile. Facebook semble décliner. Chez les jeunes d’abord, chez les autres ensuite. Le scandale Cambridge Analytica y est-il pour quelque chose ? Chez les uns surement, chez les autres peut être pas.

LinkedIn remplace petit à petit l’amusement et les blagues de potache. Peut être aussi, cette envie de voir ailleurs fait-elle se tourner vers cet eldorado nouveau. Là aussi comme ailleurs, on croit toujours que l’herbe est plus verte ailleurs. C’est peut être bien vrai. Surtout quand l’herbe est trop jaunie.

Il y a aussi le sens. Qu’il faut trouver, ou retrouver. Allez vers les horizons qui nous branchent. Ceux où l’on trouve une raison de se battre, une espoir à combattre, une idée à faire pousser. On se prends à casser les codes, à repousser les limites. A tenter, tout simplement. A tenter pour réussir cette fois. Car l’on a déjà tenté, essayé. Ca fonctionne chez vous, c’est autour que ça ne marche pas. Trop disruptif, trop originial, trop expérience client sans doute.

Alors on vole. On mélange nouveaux points de vues, technologie, geekeries et évasion, pour découvrir ou redécouvrir. Surtout pour voir sous un autre angle ce que l’on ne voyait plus. Ca fait du bien, ça rassure, ça originale l’habitude. C’est déjà pas si mal.

Vivement cet été, vivement la nature, vivement cet espace, vivement les cousins, vivement le français, vivement l’autre rive.

Cet article écrit à deux mains, ne veux rien dire sur la forme. Succession de flashs, on peut le prendre à la première lettre, il n’y a peut-être pas de deuxième lettre. C’est dans le fond d’un esprit du moment qu’il se révèle… ou pas.

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